
Quand le monde est à l’envers,
Ou l’ami, l’ennemi, le bon et le mauvais
ne se distinguent plus jamais.
C’est là que la charogne, la crasse et
la puanteur, règnent en dominante teneur.
Fragile comme elle est, la vie est piétinée.
On marche sur la queue, on fracasse la tête
sans regrets ni remords pour l’authenticité.
Tous parlent et reparlent de leurs monstruosités
si bien insinuées, trop bien justifiées. Oh Descartes!ton œuvre perdue et ta logique bafouée.
Chacun prive l’autre de la vie et se l’approprie,
visant à s’assurer un passé, mort hélas !
et un futur sans paroisse.
La terre, fontaine de vie et de volupté, souffrant
de bien trop de maux, se déclare stérile
sur un ton amer:« Au diable ses enfants
qui- fœtus ou bébé-répugnent la tétine maternelle! »
« Qu’ils crèvent ses enfants! » Offrande d’une mère au Dieu créateur, comme au bon vieux temps, un acte purificateur.
« Géhenne soit le ventre qui portera ses formes IN-humaines,
mieux vaut être stérile que produire un être plein de cruauté et de haine ».
(Musanaa- January 9th 1996)
You're without doubt a poet inside . With all my respect dear friend .
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